CAN IT BE YOU THAT I HEAR ?
"CAN IT BE YOU THAT I HEAR?" remarkable poems from the Victorian era are set to music by composer Claude Evence Janssens
for 1 to 4 voices, with piano, string quintet and winds.
ns
Recorded and mixed at
J-Ph Collard-Neven
studio, Brussels, 2020-2023
Kris Belligh :
voices (1 to 4, via re-recording)
Claude Evence Janssens :
compositions
bass clarinet
alto clarinet
flugelhorn
trumpet
Jean-Philippe Collard-Neven
piano
Amôn string quartet :
Aymeric de Villoutreys
Julien Poli
Éva Pusker
Anne-Gabrielle Lia-Aragnouet
Adrien Tyberghein :
double bass
Georges Tonla Briquet – Jazz Halo – 30.10.2023 :
Le compositeur et multi-instrumentiste Claude Evence Janssens aime visiblement les albums concepts.
Après « Flashes Of Light In A Slow Tear » et « e-Jazz », il accompagne à présent musicalement des poèmes de William Ernest Henley, Thomas Hardy, Thomas Moore, Leigh Hunt, Walt Whitman, Christina Georgina Rossetti et Thomas Love Peacock.
Le chanteur est Kris Belligh (qui chante les parties alto, ténor, baryton et basse par overdub). Janssens lui-même joue la clarinette alto et basse, le bugle et la trompette. D'autres apports viennent du pianiste Jean-Philippe Collard-Neven, du contrebassiste Adrien Tyberghien et du quatuor à cordes Amôn Quartet.
Une atmosphère gothique sombre et victorienne prédomine. Les fans de Bertolt Brecht & Kurt Weill, du prog folk britannique ou de Theo Bleckmann l'apprécieront certainement.
Jean-Claude Vantroyen – Le Soir – 05.11.2023 :
(…) Cet album étonne d'abord, puis accroche, puis envoûte.
CAN IT BE YOU THAT I HEAR?
11 poems from English and American poets set to music by Claude Evence Janssens and sung by baritone Kris Belligh.
The 11 compositions of Claude Evence Janssens were inspired by poems by Anglo-Saxon and American authors of the Victorian era (19th century): William Ernest Henley, Leigh Hunt, Walt Whitman, Thomas love Peacock, Thomas Moore, Thomas Hardy , Christina Rossetti – with the exception of William Davenant (17th century). The chosen poems are among the most famous, in particular “Invictus” (Nelson Mandela's favorite poem, and which moreover gave the title of the film dedicated to him), “O Captain! My Captain! (quoted in "The circle of dead poets"), or "Jenny kiss'd me".
As with his album "12 Fleurs du Mal", devoted to poems by Baudelaire (album released in 2021), Claude Evence Janssens manages to give the 11 poems of "Can it be you that I hear?", beyond what reading or declamation can bring, a lyrical and dramatic dimension capable of reflecting the romantic torments with which most of them are imbued.
The specificity of the "Can it be you that I hear?" project is to have created a very special voice unit when baritone Kris Belligh (www.krisbelligh.com) achieved the feat of singing the 4 vocal parts himself, from the lowest to highest: bass, baritone, tenor, countertenor (thanks to the technique of superimposing recordings called re-recording). Hence the strong impact of this vocal quartet in terms of unity and sound homogeneity.
And, speaking of the sound, note that meticulous care has been taken with the sound recordings, both for the vocal quartet and the string quartet, as well as for the mixes, produced by the pianist Jean-Philippe Collard-Neven, who therefore appears also on the album as sound engineer.
CAN IT BE YOU THAT I HEAR ?
11 poèmes de poètes anglais et américains mis en musique par Claude Evence Janssens et chantés par le baryton Kris Belligh.
Les 11 compositions de Claude Evence Janssens ont été inspirées par des poèmes d'auteurs anglo-saxons et américains de l'époque victorienne (19ème siècle) : William Ernest Henley, Leigh Hunt, Walt Whitman, Thomas love Peacock, Thomas Moore, Thomas Hardy, Christina Rossetti – à l'exception de William Davenant (17ème siècle). Les poèmes choisis figurent parmi les plus célèbres, notamment « Invictus » (poème préféré de Nelson Mandela, et qui a d'ailleurs donné le titre du film qui lui a été consacré), « O Captain ! My Captain ! » (cité dans « Le cercle des poètes disparus »), ou encore « Jenny kiss'd me ».
De même qu'avec son album « 12 Fleurs du Mal », consacré à des poèmes de Baudelaire (album sorti en 2021), Claude Evence Janssens parvient à donner aux 11 poèmes de « Can it be you that I hear ? », au-delà de ce que peut apporter la lecture ou déclamation, une dimension lyrique et dramatique propre à refléter les tourments romantiques dont pour la plupart ils sont imprégnés.
La spécificité du projet « Can it be you that I hear ? » est d'avoir créé une unité de voix particulière dès lors que le baryton Kris Belligh (www.krisbelligh.com) a réalisé l'exploit de chanter lui-même les 4 parties vocales, de la plus grave à la plus aiguë : basse, baryton, ténor, alto (grâce à la technique de superposition d'enregistrements appelée re-recording). D'où le fort impact de ce quatuor vocal en termes d'unité et d'homogénéité sonore.
Et, parlant du son, signalons qu'un soin minutieux a été apporté aux prises de son, tant du quatuor vocal que du quatuor à cordes, ainsi que pour les mixages, réalisés par le pianiste Jean-Philippe Collard-Neven, qui figure donc sur l'album également en tant qu'ingénieur du son.